Voilà c’est fini, il n’y a plus d’alternative, le point final a été écrit d’un commun accord. Nous allons vivre loin l’un de l’autre. Nous ne pouvons plus changer d’avis, nous avons fait le grand saut.
Maintenant je reviens, petite âme seule. Je sais que le jour se lève encore.
Quand Paris s’éteint, je ne pense pas à la solitude, non, je pense à trouver mon alter égo, en espérant que Demain sera parfait.
A ceux qui passent dans ma vie, vous n’êtes pas des milliers, des millions, des milliards, mais là n’est pas l’essentiel.
Toi, mon ami, regarde-moi, donne moi une raison d’exister. A chaque pas, si seulement tu es à mes cotés, je saurai que le bonheur n’est pas juste une illusion.
Toi mon ami, tu sais que je rêve d’un Idéal Standard, que je cherche (ma) la bonne étoile, celle qui me mènera à l’amour. Je te pose la question : se trouve t-il à l’horizon ?
Merci à Jean-Louis Aubert pour toutes ces chansons magnifiques, qui m’ont permis d’écrire cet article un peu particulier.